Garde moi de l’oubli d’Elisabeth Aragon
€16.00Evocation d’un temps suspendu à l’attente, celle la faucheuse effroyable, à l’hécatombe des années 9O, au nom Sida.
Evocation d’un temps suspendu à l’attente, celle la faucheuse effroyable, à l’hécatombe des années 9O, au nom Sida.
La dernière page du Journal de marche d’Etienne restera pour toujours inachevée sur ces mots,
Les deux frères étaient face à face, immobiles, tétanisés, arc-boutés sur leur volonté
Il a peur des eaux qui roulent sans fin sous sa fenêtre.
Observer c’est danser avec l’indiscernable.
…Le soir, allongée sur son lit, Elise s’accoudait à la fenêtre du Temps.
– Paul, comment vas-tu ?
Mémoires d’une jeune fille dérangeante
au temps où j’étais petit
je n’étais pas encore ton grand-père
…Toutes les maisons étaient fermées, les volets clos et il n’y avait pas âme qui vive dans les
rues…
Arrêtez, vous savez très bien ce que je veux dire. Vous et moi sommes « en fuite ».
à la périphérie du ciel
Sur le chemin du retour, ils aperçurent, dominant la mer, le petit cimetière encore éclairé, où des hommes du village continuaient à creuser.
Avez-vous déjà observé par une belle nuit d’été un ciel rempli d’étoiles qui émergent du fond cosmique ?
mon stylo fuit
le ciel n’est pas un buvard
C’est très encombrant une liberté quand elle est vide.